Nous n’avons donc pas d’autres solutions que de comprendre qu’il est dans notre intérêt de développer massivement ce continent voisin.
Il m’arrive, assez souvent, dans ces pages, de dire notre responsabilité à l’égard des générations futures, dans bien des domaines, et de penser que, si nous n’y prenons garde, ceux qui seront vivants et actifs en 2050 maudiront ceux qui l’étaient en 2020, pour n’avoir rien fait pour leur épargner l’enfer dans lequel ils seront entrés.
Cela n’est pas seulement vrai pour le climat, la dette publique, l’absence de maîtrise des technologies, et, en particulier, celle de l’intelligence artificielle – enjeux encore aujourd’hui parfaitement maîtrisables et qui ne le seront sans doute plus dans trente ans.
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